Primo-accédants : toutes les conditions réunies pour acheter

C'est ce que confirme la dernière étude d'Empruntis.
Le premier trimestre à peine bouclé, Empruntis a analysé les demandes de crédit immobilier avec promesse de vente signée et au moins un accord de banque pour vous livrer les premières tendances de cette année.

Acheter son toit, toujours une priorité pour les ménages.

Les projets d'acquisition de résidence principale concernent l’essentiel des demandes de financement avec un peu plus de 80% des demandes de financement reçues entre le 1^er janvier et le 31 mars 2016. Mais surtout, le nombre de projets est en forte hausse : +34% par rapport au premier trimestre de 2015. Et ce sont ceux que l’on appelle les primo-accédants, les acquéreurs de leur premier logement, qui constituent la plus grande part des achats (8 sur 10).

 

Le premier achat largement facilité en ce début d’année

Les primo-accédants bénéficient d’un contexte extrêmement favorable. Alors que le cycle de baisse des prix semble terminé et qu’ils profitent donc d’un accroissement de leur pouvoir d’achat, ils ont également la chance d’emprunter à des taux historiquement bas. Vous avez déjà entendu cela l’année dernière ? Oui mais les taux sont actuellement encore plus bas qu’en mai 2015 qui était pourtant devenu la référence en matière de crédit peu cher. En l’espace de 3 mois, emprunter 100 000 € coûte 4 000 € de moins ! Un gain de pouvoir d’achat important qui vient amplifier l’effet du PTZ !

 

Vous avez reporté votre projet en 2015 ? C’est le moment d’y repenser !

Taux bas, PTZ élargi et prix en fin de cycle baissier sont autant d’atout pour remettre à l’ordre du jour un projet abandonné pour manque de pouvoir d’achat ou mensualités trop serrées !

La preuve, les primo-accédants qui ont lancé leur projet sur ce premier trimestre ont des revenus inférieurs de 5% par rapport à ceux ayant emprunté en 2015, un apport issu de l’épargne inférieur de 7% et pourtant ils achètent plus grand (coût du bien et des travaux éventuels en hausse de 9% par rapport à 2015).