Revue de presse - septembre 2016
Dernière retombée
Le Monde - Qui peut bénéficier du prêt à taux zéro ?
« Cette quotité s'applique au montant de l'opération dans la limite d'un plafond compris entre 100 000 euros pour un logement ancien avec travaux en zone C et 150 000 euros pour un bien neuf en zone A pour un célibataire », précise Cécile Roquelaure, porte-parole d'Empruntis
Historique
Le Parisien - Déjouez les pièges de l'immobilier
Que les candidats à l'achat se réjouissent, jamais l'argent n'a été aussi peu cher. On emprunte aujourd'hui en moyenne à 1,75% sur vingt ans, et 1,30% sur dix ans, selon le courtier en crédit Empruntis. Et les prix des biens stagnent, voire baissent encore dans certaines régions.
Boursorama - Crédit immobilier : les taux continuent de baisser
Après 9 mois consécutifs de baisse, les taux de crédit immobilier continuent de diminuer en septembre, dans la quasi-totalité des régions de France. Les taux sont minimums historiquement bas. Selon le baromètre Empruntis, il est aujourd'hui possible pour les meilleurs profils et les meilleurs dossiers d'emprunter sur 15 ans à un taux record de 0,90%, toutes régions confondues. Sur 20 ans, le taux de crédit immobilier minimum le plus intéressant se retrouve dans le Nord, avec 1,08%. Ce chiffre montant au maximum à 1,10% dans le reste du pays. La baisse est quasi-générale par rapport au mois précédent, à hauteur de 5 à 30 centimes.
Infos immo - Taux immobilier septembre : un mois historique !
Septembre 2016 deviendra-t-il un mois historique en matière de taux de crédit immobilier ? C’est en tout cas la situation actuelle : ce mois-ci encore la quasi-totalité des taux sont à la baisse, atteignant des planchers record. Aujourd’hui, les établissements bancaires sont très attentifs à tous les dossiers car il ne leur reste plus qu’un mois et demi pour atteindre leurs objectifs, note Cécile Roquelaure, directrice de la communication et des études chez Empruntis.
L'Obs - Sans CDI, point de crédit immobilier
CDD à répétition, "ubérisation" de l'économie, auto-entrepreneuriat... De plus en plus de jeunes actifs ne décrochent que des emplois précaires. Malgré des revenus parfois confortables, ils peinent à devenir propriétaires : aux yeux du banquier le CDI reste l'indispensable sésame pour obtenir un prêt immobilier. Pour Cécile Roquelaure, directrice du courtier Empruntis, "un changement des mentalités est en cours, mais il doit s'accélérer" car sur ce type de clients "le risque est plus important mais c'est l'avenir. Aujourd'hui ceux qui parviennent à emprunter en CDD doivent surenchérir sur les garanties, avec des revenus et un apport plus conséquents que les autres".
L'Express - Logement : le CDI reste le Graal pour emprunter, malgré l'explosion des emplois précaires
"Ubérisation" de l'économie, auto-entrepreneuriat, CDD à répétition... De plus en plus d'actifs ont un emploi précaire et peinent à devenir propriétaires, malgré des revenus parfois confortables, car aux yeux du banquier le CDI reste l'indispensable sésame pour obtenir un prêt. Pour Cécile Roquelaure, directrice du courtier Empruntis, "un changement des mentalités est en cours, mais il doit s'accélérer" car sur ce type de clients "le risque est plus important mais c'est l'avenir. Aujourd'hui ceux qui parviennent à emprunter en CDD doivent surenchérir sur les garanties, avec des revenus et un apport plus conséquents que les autres".
Le Revenu - Logement : le CDI reste le Graal pour emprunter, malgré l'explosion des emplois précaires
"Ubérisation" de l'économie, auto-entrepreneuriat, CDD à répétition... De plus en plus d'actifs ont un emploi précaire et peinent à devenir propriétaires, malgré des revenus parfois confortables, car aux yeux du banquier le CDI reste l'indispensable sésame pour obtenir un prêt. Pour Cécile Roquelaure, directrice du courtier Empruntis, "un changement des mentalités est en cours, mais il doit s'accélérer" car sur ce type de clients "le risque est plus important mais c'est l'avenir. Aujourd'hui ceux qui parviennent à emprunter en CDD doivent surenchérir sur les garanties, avec des revenus et un apport plus conséquents que les autres".
La Croix - Logement : en France, le CDI reste le Graal pour emprunter
"Ubérisation" de l'économie, auto-entrepreneuriat, CDD à répétition... De plus en plus d'actifs ont un emploi précaire et peinent à devenir propriétaires, malgré des revenus parfois confortables, car aux yeux du banquier le CDI reste l'indispensable sésame pour obtenir un prêt. Pour Cécile Roquelaure, directrice du courtier Empruntis, "un changement des mentalités est en cours, mais il doit s'accélérer" car sur ce type de clients "le risque est plus important mais c'est l'avenir. Aujourd'hui ceux qui parviennent à emprunter en CDD doivent surenchérir sur les garanties, avec des revenus et un apport plus conséquents que les autres".
AFP - Logement : le CDI reste le Graal pour emprunter, malgré l'explosion des emplois précaires
"Ubérisation" de l'économie, auto-entrepreneuriat, CDD à répétition... De plus en plus d'actifs ont un emploi précaire et peinent à devenir propriétaires, malgré des revenus parfois confortables, car aux yeux du banquier le CDI reste l'indispensable sésame pour obtenir un prêt. Pour Cécile Roquelaure, directrice du courtier Empruntis, "un changement des mentalités est en cours, mais il doit s'accélérer" car sur ce type de clients "le risque est plus important mais c'est l'avenir. Aujourd'hui ceux qui parviennent à emprunter en CDD doivent surenchérir sur les garanties, avec des revenus et un apport plus conséquents que les autres".
Boursorama - Crédit immobilier : quelles régions profitent des meilleurs taux ?
Si les taux de crédit immobilier continuent de diminuer d'une manière générale, certaines régions atteignent des niveaux plus bas que d'autres. Où profiter des meilleurs taux en France ? D'après le dernier baromètre mensuel des régions d'Empruntis, le nord de la France possède globalement les taux de crédit immobilier les plus faibles. En août 2016, il était possible d'y effectuer un emprunt sur 15 ans à un taux minimum de 0,95%. Sur 20 ans, le taux minimal passe à 1,18%, et sur 25 ans, à 1,35%. C'est l'Est qui détient la palme du taux le plus bas sur 30 ans, avec 2,05% (2,09% dans le Nord). Une seule autre région est passée sous la barre des 1% sur 15 ans : la région Rhône-Alpes, avec 0,99%.
AFP - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine qui profite surtout aux plus aisés
Les taux de crédit immobilier n'en finissent pas de baisser. Ce qui permet de renégocier son prêt et donc de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois : si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
Le Figaro - Sur les crédits, les renégociations sont reparties de plus belle
Chez Empruntis, sur 15 ans un emprunteur obtient en moyenne 1,45% sur 15 ans, contre 2,20% en janvier dernier ! De fait, les renégociations repartent à la hausse. « Les banques n'ont pas rempli leurs objectifs annuels de prêts, car le début d'année n'a pas été bon. Elles sont donc presque toutes prêtes à racheter ainsi les crédits des autres établissements, pour gagner des parts de marché et attirer de nouveaux clients », relève Cécile Roquelaure, directrice des études chez Empruntis.
L'Obs - Des taux de crédit encore en recul pour la rentrée
Les banques ont une nouvelle fois baissé les taux des crédits immobilier selon les courtiers. Qu'il s'agisse de financer un achat immobilier ou de renégocier son prêt en cours, la rentrée offre d'excellentes conditions pour les emprunteurs ou titulaires d'un crédit immobilier. De quoi alléger un budget au quotidien : ainsi par exemple, pour un emprunt de 100.000 euros sur 20 ans, le montant des mensualités est passé de "539,70 euros en septembre 2015 à 491,80 euros en septembre 2016", calcule le courtier Empruntis.
- La manne de la baisse des taux
Après une production de crédits record en 2015, les banques continuent d'afficher des objectifs ambitieux en 2016. « La rentrée est habituellement une période de vive concurrence commerciale entre les établissements financiers. L'automne s'avère la dernière ligne droite pour remplir les objectifs annuels de crédits. Cette année, la période est d'autant plus cruciale que le début d'année a été plutôt poussif, voire attentiste », commente Cécile Roquelaure, directrice des études d'Empruntis.
- Réussir son projet immobilier en 7 semaines
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Libération - Immobilier : taux d'intérêt inédits pour les chouchous des banques
Grâce à des taux de prêts tombés à 2% sur 20 ans, assurance emprunteur comprise, les acquéreurs ont gagné du pouvoir d'achat immobilier. Les volumes des ventes sont proches de niveaux record. Le niveau toujours plus bas des taux d'intérêt est devenu le principal carburant d'un marché de l'immobilier en expansion. " Si vous vous demandiez s'il était encore possible d'atteindre des taux records, la réponse est oui ! En ce mois de septembre, les banques contiuent leur course au taux bas", écrit par exemple le courtier Empruntis dans sa lettre de conjoncture de rentrée publiée lundi. " Que ce soit les banques nationales ou les banques régionales, la quasi-totalité affiche des baisses" ajoute l'étude.
Challenges - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine qui profite surtout aux plus aisés
Les taux de crédit immobilier n'en finissent pas de baisser. Ce qui permet de renégocier son prêt et donc de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois : si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
les echos - Assurance emprunteur : comment obtenir les meilleurs tarifs
L’assurance emprunteur pèse « lourd dans le coût total d'un crédit. Ce n'est pas neutre dans un budget. Il convient donc d'être vigilant au moment de choisir cette couverture payante qui va durer toute la durée du crédit », rappelle Cécile Roquelaure, directrice des études chez Empruntis. Il faut par conséquent sélectionner une assurance emprunteur en fonction de son profil.
Les Echos - Rennes : le TGV, un argument de plus pour investir
Selon Stéphane Blot directeur de l’agence Empruntis à Rennes, « l’arrivée de la LGV dans la commune est certes une bonne nouvelle mais ce n’est qu’un argument parmi d’autres pour investir à Rennes » : nombre d’habitants en hausse, population étudiante qui augmente, des projets d’infrastructures…
Libération - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine pour les plus aisés
Les taux de crédit immobilier n'en finissent pas de baisser. Ce qui permet de renégocier son prêt et donc de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois : si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
Journal du Net - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine qui profite surtout aux plus aisés
Les taux de crédit immobilier n'en finissent pas de baisser. Ce qui permet de renégocier son prêt et donc de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois : si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
Capital - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine pour les plus aisés
Les taux de crédit immobilier n'en finissent pas de baisser. Ce qui permet de renégocier son prêt et donc de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois : si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
Boursorama - Le crédit immobilier peu cher, une aubaine qui profite surtout aux plus aisés
Le marché immobilier n'en finit pas de profiter de la baisse des taux de crédit, tombés à des niveaux inédits, ce qui permet d'acheter un logement, ancien ou neuf, à un nombre croissant de ménages... mais surtout aux plus aisés. Les renégociations de crédit représentent 44% des volumes de crédit, une proportion qui est montée jusqu'à 58% en mois d'août 2015, car les particuliers ont fait jouer la concurrence entre banques pour obtenir un meilleur taux, réduisant leur échéance de remboursement ou la durée de leur crédit. Car renégocier son crédit immobilier peut permettre de réaliser de substantielles économies, à certaines conditions toutefois: si le capital restant dû est supérieur à 70.000 euros, si la durée résiduelle du crédit est supérieure à deux tiers, voire un tiers, et enfin si l'écart de taux entre le crédit et le taux de marché est d'environ 0,7 point, détaille le courtier Empruntis.
Boursier.com - Septembre sera peut-être le moisde tous les records pour les taux d'emprunts immobiliers !
Les baisses de taux immobiliers surprennent encore par leur ampleur alors que les banques font la course aux clients avant la fin de l'année. Comme toujours, les plus fortes baisses bénéficient quand même aux meilleurs profils avec les plus hauts revenus. Empruntis précise qu'il faut généralement 55 000 € de revenus annuels pour un célibataire et 75 000 € pour un couple afin de bénéficier des meilleurs taux. Ces niveaux sont bien sûr variables selon les régions.
La Croix - Les Français renégocient de plus en plus leurs crédits immobiliers
En juillet, les rachats de crédits immobiliers ont représenté près de la moitié des nouveaux prêts. La baisse des taux encourage les particuliers à renégocier leurs prêts. Mais il y a toujours de fortes différences de taux selon le profil de l'emprunteur. « Aujourd'hui, on peut obtenir du 0,90 % sur 15 ans et du 1,10 % sur 20 ans », affirme Cécile Roquelaure, la directrice des études du courtier Empruntis. La barre des 1 % commencerait même à être franchie.
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