Revue de presse - mars 2014
Dernière retombée
Le Monde - Qui peut bénéficier du prêt à taux zéro ?
« Cette quotité s'applique au montant de l'opération dans la limite d'un plafond compris entre 100 000 euros pour un logement ancien avec travaux en zone C et 150 000 euros pour un bien neuf en zone A pour un célibataire », précise Cécile Roquelaure, porte-parole d'Empruntis
Historique
- Les acheteurs poussent les murs
Une large majorité (59%) d'acquéreurs considère que c'est «le bon moment pour acheter une maison ou un appartement» (contre 50% en 2011). Néanmoins, 29% sont indécis et 12% estiment que ce n'est pas le bon moment (18% il y a trois ans). Pour financer leur acquisition, ils sont 60% à considérer que «les taux d'intérêt de crédits immobiliers sont attractifs». Aujourd'hui, hors assurance, ils s'établissent en moyenne à 3,3% pour des prêts sur vingt ans. Un niveau historiquement bas qui n'échappe pas aux acquéreurs potentiels. Par contre, ils sont 52% à considérer «qu'en ce mo- ment les prêts immobiliers sont difficiles à obtenir», contre 28% en 2011. «C'est une affirmation exagérée par rapport à la politique réelle des banques, pour lesquelles l'immobilier reste un produit d'appel, pointe Mael Bernier, porte- parole du courtier Empruntis.com. Rien n'a vraiment changé dans la politique des banques depuis 2011. Il n'y a pas plus de refus de prêts aujourd'hui qu'il y a trois ans. En général, elles exigent un apport de 10 % minimum».
Ile de France - Ile de France : à chacun son marché
D'autant qu'une autre inconnue demeure : l’évolution des taux de crédit. «Quid, toutefois, du second semestre ? Les pronostics vont bon train. «La période actuelle est particulièrement intéressante, mais n'a pas vocation à se maintenir, pronostique Maël Bernier, d'Empruntis. Comme nous continuons de le penser, les taux de crédit devraient remonter dans le courant du second semestre 2014. ».
Immobilier - Immobilier : les prix n’augmentent pas mais les acheteurs sont déjà là
Lesclesdumidi.com : En 2013, acquérir un bien immobilier coûte en moyenne 220 387 euros en France. Cette moyenne est-elle à pondérer selon les régions, Paris, l'Ile-de-France et les grandes métropoles françaises présentant des prix particulièrement élevés par rapport au reste du territoire ? Maël Bernier, directrice de la communication d’Empruntis.com : Il y a évidemment des différences, mais l’augmentation est réelle sur tout le territoire. Si on prend la région Sud-Ouest, le montant moyen est de 201 219 euros (soit 152 357 € + 48 872 € d’apport). Lesclesdumidi.com : Le pouvoir d'achat immobilier des Parisiens s'est-il particulièrement érodé ces dix dernières années ? Oui, il a été divisé par deux en 10 ans. Lesclesdumidi.com : Depuis 2004, date de votre première étude, le prix moyen d'un bien immobilier a augmenté d'environ 60 000 euros. Est-ce le cas dans toutes les régions y compris par exemple des territoires comme la Corrèze ou la Lozère ?
La France entière a vu les prix augmenter, évidemment pas forcément dans les mêmes proportions, mais on ne peut nier que tout le pays a subi une inflation. Evidemment, moins forte au fond de la Corrèze que dans le centre de Nantes ou Toulouse. Lesclesdumidi.com : Selon votre étude, le revenu net moyen du candidat à la propriété s'établit en 2013 à 4 500 euros. Or, selon l'Insee, moins de 20 % des Français perçoivent plus de 4 467 euros par mois. N'y a-t-il pas contradiction ? C’est la réalité aujourd’hui des gens qui osent se lancer dans un achat immobilier. Ce n’est en aucun cas et heureusement le revenu nécessaire pour devenir propriétaire. C’est un revenu national, donc une moyenne. Lesclesdumidi.com : Quelle est la proportion des personnes qui souscrivent un crédit en tant que co-emprunteur (en couple le plus généralement) ? Près de 8 emprunts sur 10 sont souscrits avec un co-emprunteur. Lesclesdumidi.com : Deux tiers des Français sont propriétaires d'un bien immobilier. Cet engouement est-il visible chez les nouvelles générations qui font leur rentrée sur le marché du travail, ou perçoit-on chez elles d'autres priorités ? C’est plus que jamais un souhait des nouvelles générations. On assiste d’ailleurs à une autre forme d’entrée sur le marché immobilier. Quand ils ne peuvent acheter le bien qui leur convient pour leur résidence principale du fait qu’il est trop onéreux ou trop petit, certains choisissent d’investir dans une petite surface qu’ils mettront ensuite en location. On a donc des locataires qui sont parallèlement bailleurs.
- Trois conseils pour doper sa rentabilité
Pour ceux qui veulent se constituer un patrimoine sans avoir d'épargne préalable, rien de tel que l'immobilier locatif. Malgré la baisse des prix, entamée depuis deux ans, et l'incertitude fiscale, la pierre conserve trois avantages. D'abord, elle permet de profiter de l'effet de levier du crédit « Les taux d'intérêt tournent autour de 2,8% sur quinze ans, alors, autant en profiter! » affirme Mael Bernier, porte-parole d'Empruntis.com. Deuxième avantage, elle reste - à long terme - l'un des placements les plus sûrs. « A condition de choisir un bien de qualité, il est peu probable que la valeur du logement ait baissé dans dix ans », confie Laurent Vimont, directeur du réseau d'agences Century 21. Enfin, le loyer payé rem- bourse une partie des mensualités du crédit : l'effort d'épargne est donc moindre. Bref, la pierre reste un placement « trois en un » à détenir impérativement en fond de portefeuille. Pour l'optimiser, il suffit de suivre ces trois conseils.
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