Revue de presse - juillet 2014
Dernière retombée
Le Monde - Qui peut bénéficier du prêt à taux zéro ?
« Cette quotité s'applique au montant de l'opération dans la limite d'un plafond compris entre 100 000 euros pour un logement ancien avec travaux en zone C et 150 000 euros pour un bien neuf en zone A pour un célibataire », précise Cécile Roquelaure, porte-parole d'Empruntis
Historique
Le quotidien de la Réunion et de l'Océan Indien - Des taux d'intérêt plus attractifs qu'en métropole à partir de 25 ans
C'est une première en ce qui concerne La Réunion et il faudra donc patienter un peu pour mesurer des évolutions dans le temps. A partir des données fournies par les établissements bancaires de la place, Empruntis L'Agence (ex Broker France), courtier installé à Saint-Pierre, a diffusé hier un baromètre des taux de crédit immobilier à La Réunion calqué sur celui proposé de longue date en métropole.
«Les primo-accédants redeviennent finançables»
La comparaison donne les résultats suivants. En juillet, les conditions proposées localement sont systématiquement moins intéressantes que celles relevées en moyenne au niveau national pour les crédits immobilier de courte ou moyenne durée. Pour ceux de longue durée, c'est l'inverse
La Tribune.fr - Immobilier : l'abattement fiscal sur les résidences secondaires a-t-il fonctionné ?
"Si l'on ne peut que se réjouir de l'effort du gouvernement pour soutenir le marché immobilier", cet abattement exceptionnel n'avait à la base que peu d'intérêt, d'après Thierry Bernard. Pour redynamiser le marché de la résidence secondaire, il aurait plutôt fallu s'attaquer au coup de semonce fiscal de début 2012 qui a vu l'ancien gouvernement allonger la durée de détention de 15 à 30 ans pour bénéficier d'une exonération totale d'imposition sur les plus-values immobilières. Cette durée a depuis été ramenée sous François Hollande à 22 ans pour l'impôt sur le revenu, mais maintenue à 30 ans pour les prélèvements sociaux.
Yahoo ! Finance - Immobilier : l'abattement fiscal sur les résidences secondaires a-t-il fonctionné ?
Les avantages fiscaux accordés par l'Etat ne sont parfois pas suivis d'effet. Cela semble être le cas pour l'abattement fiscal supplémentaire exceptionnel de 25% sur les plus-values de cessions des résidences secondaires et des biens locatifs, selon certains experts de l'immobilier. Instauré pour fluidifier le marché des transactions dans l'ancien, l'abattement s'applique entre le 1er septembre 2013 au 31 août 2014 en plus de celui déjà existant sur la durée de détention du bien.
Des effets d'aubaine
Pis, plutôt que de redynamiser un marché de la résidence secondaire qui perd 25% de transactions sur un an, cet abattement aurait davantage provoqué des effets d'aubaine, c'est-à-dire que les ménages qui en ont bénéficié auraient de toute façon vendu leur bien, même sans aide fiscale supplémentaire. " Cette mesure a plus un effet d'aubaine qu'un réel impact sur le marché des résidences secondaires ", constate Guillaume Teilhard de Chardin, Directeur d'Explorimmo.
Un gain apporté très limité.
Il faut dire que pour un bien acheté en 2008, " le gain apporté par cette mesure reste très limité "précise pour sa part Thierry Bernard, président d'Empruntis, de l'ordre de 500 euros en moyenne.
Business Immo - Résidences secondaires : l'abattement exceptionnel de 25 % a eu un effet limité
« Si l'on ne peut que se réjouir de l'effort du gouvernement pour soutenir le marché immobilier, on s'aperçoit rapidement que 25 % d'abattement sur la fiscalité des plus-values ne peuvent à eux seuls relancer les ventes, précise Thierry Bernard, président d'Empruntis. Ainsi, un particulier achetait sa résidence secondaire pour 155 911 € en moyenne en 2008. Aujourd'hui le prix moyen d'acquisition est monté à 196 588 €. Si un particulier a acheté et revendu à ces montants, il aura à régler 1 390 € de taxes si la transaction a lieu avant le 31 août et 1 853 € s'il la réalise après, soit 463 € d'économie. On constate donc que le gain apporté par cette mesure reste très limité ».
Promotion immobilière - Portrait robot de l’emprunteur 2014
Quel est le profil de l'emprunteur type ? C'est la question que s'est posée le courtier en bancassurance Empruntis. Pour dresser ce portrait, il a mené une étude sur un échantillon de 5 OOO dossiers représentatifs de demandes de crédit au cours de la période janvier-avril 2014. Où l'on s'aperçoit que la moyenne nationale cache de fortes disparités régionales...
Explorimmo - Mer et campagne : les propriétaires bradent leurs résidences secondaires
Si vous voulez acheter un bien immobilier, vous devriez regarder du côté des résidences secondaires. La France en compte un nombre record : près de 3 millions. C'est 12 fois plus qu'en Allemagne. Et, crise oblige, en ce moment, 1 propriétaire sur 10 cherche à s'en séparer. Les vendeurs sont donc plus à même d'accepter de négocier leurs prix à la baisse. Résultat, vous pouvez acquérir une résidence secondaire pour 80, 100 ou 200 000 euros. C'est ce que révélait un reportage d'Envoyé Spécial, dans son édition du 10 juillet. Une tendance qui touche tous types de biens. Les biens haut de gamme deviennent ainsi un peu moins inabordables, comme cette maison à Deauville, vendu récemment pour 520 000 euros au lieu des 600 000 espérés à l'origine par le vendeur. Encore faut-il oser négocier, car ce ne sont pas les prix officiellement affichés en agence ou dans les annonces. Moins 20 % sur les maisons de campagneLes meilleurs prix se négocient à la campagne.
Il faut dire que le prix moyen des maisons de campagne a reculé de 20 % depuis la crise, d'après les chiffres de la Fédération nationale des sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural (FNSAFER). Le prix moyen des maisons de campagne est ainsi tombé à 162 000 euros, contre 180 000 en 2006. Et la tendance semble sur le point de se poursuivre, car les acquéreurs ne sont pas prêts à payer plus cher. Dans l'Indre, ils proposent en moyenne 65 794 euros pour une résidence secondaire. 71 774 euros dans la Creuse, 72 561 dans la Nièvre, 72 802 dans la Haute-Vienne, 73 238 euros dans la Meuse… d'après les montants moyens des projets d'acquisitions des clients du courtier en crédit Empruntis. [...]
Infos Immo - La Renégociation du prêt immobilier : les conseils d’Empruntis
La renégociation consiste à contracter un nouvel emprunt à un taux plus avantageux pour rembourser celui en cours. En effet, renégocier aujourd’hui son prêt contracté à un taux élevé, il y a plusieurs années, peut s’avérer très intéressant. Pourtant, la renégociation ne convient pas à tous les cas de figure. Ainsi, ne l’envisagez pas pour un prêt qui est sur le point d’être remboursé. Suivant le principe du prêt amortissable, vous êtes alors en train de rembourser le capital et non plus les intérêts, remboursés en grande partie durant les premières années. Aucun avantage donc, de négocier les intérêts pour la simple et bonne raison qu’ils sont déjà payés presque en totalité.
Immo Neuf - Les taux d'intérêt en régions
Les taux d'intérêt baissent depuis huit mois. Une tendance qui touche toutes les régions de France d'après le courtier Empruntis.com. Certaines sont mieux loties que d'autres même si les différences sont minimes. Sur quinze ans, la moyenne nationale tourne autour de 2,85 %, mais Rhône-Alpes affiche un taux moyen à 2,80 %. Sur vingt ans, c'est l'ouest qui remporte la palme de la région la moins chère, avec une moyenne à 3,TO %, contre 3,15 % sur la France entière. Quoi qu'il en soit, « ces taux exceptionnellement bas constituent une véritable aubaine », constate Barbara Coumaros, directrice de la communication d'Emprutis.com.
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