Revue de presse - aout 2014
Dernière retombée
Le Monde - Qui peut bénéficier du prêt à taux zéro ?
« Cette quotité s'applique au montant de l'opération dans la limite d'un plafond compris entre 100 000 euros pour un logement ancien avec travaux en zone C et 150 000 euros pour un bien neuf en zone A pour un célibataire », précise Cécile Roquelaure, porte-parole d'Empruntis
Historique
Capital - Des taux au plancher, mais pas pour tous les profils
Autre solution pour réduire le coût de son financement : solliciter un courtier, qui connaît par coeur la politique de prêt de chacun des établissements de la place. Mais lequel choisir? Comme le montrent nos tableaux, tout va dépendre devotre objectif.
Le telegramme - Fonte des taux
Réponse à tout - Le garde- meuble nouvelle génération
Des jeunes en manque de place et des seniors en manque d’argent.
La moyenne d’âge des propriétaires se situe entre 45 et 65 ans alors que les locataires ayant besoin de m2 supplémentaires ont entre 25 et 40ans. Pour la durée si l'on s’en réfère à une étude Empruntis.com de 2013, la location d'un espace de stockage entre particuliers est en moyenne d'environ cinq mois Toujours selon la même étude 40% des personnes utilisant ce service le font car ils déménagent et que c’est pour eux un moyen simple et peu cher de stocker du mobilier avant leur emménagement
La Provence - Prêts : des taux très bas, mais peu d'acheteurs
Emprunter 230 000 € sur 20 ans au taux de 2,34% c'est possible en ce moment. "On a rarement vu aussi bas", confie Mathieu Favargiotti, agent immobilier à Cuges, qui a relevé lui-même ces conditions exceptionnelles. L'ensemble des acteurs bancaires s'accordent pour dire que les taux n'ont jamais été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. " L'adjectif historique est utilisé à bon escient", estime Florian Niccolaï directeur marketing & développement du courtier Empruntis. […]
Explorimmo - 213 316 euros, le prix moyen d'un bien immobilier en 2014
Depuis le début de l'année 2014, les biens immobiliers achetés par les Français leur coûtent en moyenne 213 316 euros, d'après le courtier en crédit Empruntis. Un chiffre en légère baisse comparé à 2013.
Le prix moyen d'un bien immobilier en France est désormais de 213 316 euros, d'après le courtier en crédit Empruntis. De quoi acheter un studio à Paris, une propriété dans le Nord-Pas-de-Calais, une longère en Normandie, ou une petite maison neuve à Fontainebleau (en image), par exemple.
La Marseillaise - Le chiffre du jour...
La baisse des taux d'emprunts immobiliers perdure dans le sillage de la créance souveraine française de référence, l'OAT de maturité 10 ans. Le courtier en ligne Empruntis.com a enregistré une régression de 0,05%a 0,10% des taux en juillet, par rapport au mois précèdent. Le taux moyen d'un emprunt d'une durée de 15 ans ressort à 2,70 % contre 2,95 % pour un crédit immobilier d'une maturité de 20 ans. Ce dernier peut atteindre 2,45 % pour les meilleurs dossiers.
Direct Gestion - Crédit immobilier : « bien malin celui qui pourra prédire l'évolution des taux d'intérêt à la rentrée »
« Crise au Proche-Orient et en Ukraine, déboires de la banque portugaise Banco Espirito Santo… Malgré un climat international tendu, les OAT - qui impactent les taux bancaires - n'ont pour l'instant pas flambé. Bien malin donc celui qui pourra prédire l'évolution des taux d'intérêt à la rentrée », explique le courtier Empruntis, dans son baromètre des taux du mois d'août. [...]
Infos immo - Été et taux immobilier : toujours en baisse
On ne s'attendait pas à de grands mouvements de taux cet été, il en a finalement été autrement en juillet. Les taux d'intérêt affichent de nouvelles baisses sur un mois (entre -0.05 % et -0.10 %).
Résultat, les durées de référence 15 ans et 20 ans s'établissent respectivement à 2.70 % et 2.95 % en moyenne. Les niveaux planchers continuent donc d'être battus.
Autre fait marquant : une baisse de 0.10 % sur un mois est observée sur la période 25 ans. Or, il s'agit d'une durée généralement souscrite par les primo-accédants. C'est donc le signe que lesbanques essaient de nouveau d'attirer cette catégorie d'acheteur. Mais les primo-accédants ne sont pas les seuls à pouvoir bénéficier de conditions financières intéressantes. Des décotes supplémentaires peuvent être accordées à tous les profils d'emprunteur. L'explication ? « Les établissements de prêt sont loin d'avoir rempli leurs objectifs commerciaux, ils vont donc chercher à attirer de nouveaux clients. Et pour cela, ils proposent des réductions de taux supplémentaires de l'ordre de 0.20 % », justifie Thierry Bernard, président d'Empruntis.
Boursier.com - Les durées longues s'ouvrent davantage aux emprunteurs
La baisse exceptionnelle des taux d'intérêt sur les emprunts immobiliers rend plus attractives les durées longues de crédit qui ont tendance à être délaissées quand les taux sont hauts.
Aujourd'hui, les taux moyens sur 25 ans sont proches de 3,3%, un niveau qui était encore la référence sur 20 ans il y a quelques mois. Les durées longues sont généralement choisies par les primoaccédants puisqu'elles permettent d'augmenter son budget de financement. Les banques sont globalement plus frileuses à prêter sur ces durées puisque le risque est plus élevé. Actuellement, les courtiers en prêt immobiliers observent pourtant un certain retour des banques sur ces durées longues. La plupart des banques étant loin d'avoir rempli leurs objectifs commerciaux cette année, elles tentent donc de séduire des primo-accédants qui ont besoin de financements longs pour devenir propriétaires.
Les banques cherchent des primo-accédants. Le courtier Empruntis observait par exemple en juillet une baisse de 0,1% sur la période 25 ans, signe que les banques essaient de nouveau d'attirer la catégorie des primo-accédants. [...]
Direct Gestion - Crédit immobilier : les niveaux planchers encore battus
On ne s'attendait pas à de grands mouvements de taux cet été, il en a finalement été autrement en juillet. Les taux d'intérêt affichent de nouvelles baisses sur un mois (entre -0.05 % et -0.10 %). Résultat, les durées de référence 15 ans et 20 ans s'établissent respectivement à 2.70 % et 2.95 % en moyenne. Les niveaux planchers continuent donc d'être battus.
Autre fait marquant : une baisse de 0.10 % sur un mois est observée sur la période 25 ans. Or, il s'agit d'une durée généralement souscrite par les primoaccédants. C'est donc le signe que les banques essaient de nouveau d'attirer cette catégorie d'acheteur. Mais les primoaccédants ne sont pas les seuls à pouvoir bénéficier de conditions financières intéressantes. Des décotes supplémentaires peuvent être accordées à tous les profils d'emprunteur.
L'explication ? « Les établissements de prêt sont loin d'avoir rempli leurs objectifs commerciaux, ils vont donc chercher à attirer de nouveaux clients. Et pour cela, ils proposent des réductions de taux supplémentaires de l'ordre de 0.20 % », justifie Thierry Bernard, président d'Empruntis.[...]
Yahoo ! Finance - Crédit immobilier : Encore une légère baisse des taux
Les taux de crédit impriment à nouveau une légère baisse, selon le dernier état des lieux d’Empruntis. « On ne s’attendait pas à de grands mouvements de taux cet été, il en a finalement été autrement en juillet ». Selon le courtier en crédit, les taux d’intérêt, déjà au plancher depuis plusieurs semaines, ont en effet poursuivi leur baisse sur un mois. Entre -0.05 % et -0.10 %, selon Empruntis. «Résultat, les durées de référence 15 ans et 20 ans s’établissent respectivement à 2.70 % et 2.95 % en moyenne ».
Economie Matin - Résidences secondaires : quel bilan tirer de l'abattement exceptionnel de 25% ?
En France, 10% des propriétaires de résidences secondaires tentent de les vendre à cause de la conjoncture économique. Il y a tout juste un an le gouvernement annonçait la mise en place d'un abattement fiscal de 25% supplémentaires sur les plus-values obtenues sur la vente d'une résidence secondaire. Cette mesure exceptionnelle prend fin le 31 août prochain et l'heure est donc au bilan. Présentée comme un coup de pouce pour le marché de l'immobilier, cette mesure aura finalement eu très peu d'effet.
« Si l'on ne peut que se réjouir de l'effort du gouvernement pour soutenir le marché immobilier, on s'aperçoit rapidement que 25% d'abattement sur la fiscalité des plus-values ne peuvent à eux seuls relancer les ventes. Ainsi, un particulier achetait sa résidence secondaire pour 155 911€ en moyenne en 2008. Aujourd'hui le prix moyen d'acquisition est monté à 196 588€. Si un particulier a acheté et revendu à ces montants, il aura à régler 1 390 € de taxes si la transaction a lieu avant le 31 août et 1 853€ s'il la réalise après, soit 463€ d'économie. On constate donc que le gain apporté par cette mesure reste très limité.» précise Thierry Bernard président d'Empruntis. [...]
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