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Revue de presse et dernières retombées du site Empruntis.com - janvier 2017.

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Revue de presse - janvier 2017

Dernière retombée

Le Monde

Le Monde - Qui peut bénéficier du prêt à taux zéro ?

« Cette quotité s'applique au montant de l'opération dans la limite d'un plafond compris entre 100 000 euros pour un logement ancien avec travaux en zone C et 150 000 euros pour un bien neuf en zone A pour un célibataire », précise Cécile Roquelaure, porte-parole d'Empruntis

Historique

PAP

PAP - Immobilier : les primo-accédants toujours présents en 2017 

Les primo-accédants, ces jeunes ménages qui achètent leur résidence principale pour la première fois, sont très actifs en ce début d’année. Prix de l’immobilier attractifs, prêt à taux 0 % (PTZ) reconduit jusqu’à la fin de l’année : les conditions sont réunies pour faciliter le premier achat. Même la hausse des taux d’intérêt (+ 0,10 % entre le début et la mi-janvier 2017) n’a pas d’impact sur les projets. La moyenne sur vingt ans reste très attractive, à 1,70 % hors assurance, contre 2,45 % il y a un an d’après le courtier Empruntis.com.

 

Les Echos

Les Echos - Baromètre du crédit immobilier : la hausse des taux se conforme 

La remontée des taux enclenchée fin 2016 se confirme en janvier. Les taux restent cependant attractifs, alors que les banques cherchent toujours à distribuer du crédit. « Les taux restent très attractifs, mais il faut savoir que les marges de négociation sont beaucoup plus restreintes. Il faut avoir de forts atouts », confirme Cécile Roquelaure Directrice Etudes et Communication d’Empruntis.

 

Le Figaro

Le Figaro - Crédit immobilier : attention aux délais d'attente ! 

Avec les taux bas et la crainte d'une remontée, les Français se sont précipités vers leur banque pour demander ou renégocier un crédit immobilier. Conséquence : les délais d'obtention du crédit augmentent sensiblement. D'ordinaire proches d'un mois, les délais d'attente avant de recevoir l'offre de prêt de la part de la banque, ont augmenté d'un mois, selon le courtier Empruntis, cité par le site cBanque. Ainsi, avant d'obtenir un premier rendez-vous, vous devrez patienter deux semaines, au lieu d'une, aujourd'hui.

 

Direct gestion

Direct gestion - Crédit immobilier : vers une année de hausse des taux ? 

Comme prévu tout au long de la deuxième partie de l'année 2016, les taux immobiliers remontent en 2017. Selon Empruntis, si la hausse se faisait encore timide le dernier mois de l'année 2016, on ne peut pas en dire autant en ce début d'année. Plus concrètement, sur 35 barèmes de banques reçus, le courtier n'en relève qu'un seul à la baisse (de 1 centime) et 2 autres sont stables. Pour tous les autres, les augmentations s'affichent en moyenne à 10 ou 15 centimes (les extrêmes étant 3 et 30 centimes).

 

cBanque

cBanque - Prêt immobilier : un mois de délai supplémentaire 

En juin 2015, suite à l'annonce du rebond des taux immobiliers, les banques étaient submergées de demandes de crédit ou de renégociation. La baisse ininterrompue des taux fixes, depuis la fin de l'été 2015, a pris fin en décembre. Le même scénario se répète, avec des délais de traitement qui s'allongent. « Pour une prise de premier rendez-vous, en banque, on constate un allongement de plusieurs jours » par rapport aux délais habituels, explique Cécile Roquelaure, directrice de la communication d'Empruntis. « Ainsi, avant, on pouvait avoir un rendez-vous dans la semaine, à présent pour beaucoup d'établissements il faut compter 15 jours. » L'autre « délai important » à prévoir, toujours selon Cécile Roquelaure, se constate sur l'édition des offres : « Auparavant le délai moyen constaté était de 15 jours, il a doublé voire a été augmenté de 3 semaines. » Bilan, jusqu'à un mois de délai supplémentaire pour obtenir son offre de crédit : deux mois au total au lieu d'un avant la réception de l'offre de prêt.

 

Boursorama

Boursorama - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que  « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

L'Express

L'Express - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que  « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

Le Point

Le Point - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

La Montagne

La Montagne - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

La dépêche

La dépêche - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent.« Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

Challenges

Challenges - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfant, propriétaire parfois 

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires »".

 

AFP

AFP - En coloc à 30 ans, avec ou sans enfants, propriétaire parfois

Maniaques, solitaires ou intransigeants s'abstenir. La colocation après trente ans, en couple ou non, séduit au point que certains jeunes actifs montent des sociétés civiles immobilières, louent ou achètent à plusieurs pour vivre en tribu. Il faut rester toutefois vigilent. « Acheter à plusieurs quand on a aucun lien de parenté ou de conjoint, c'est une galère », admet Cécile Roquelaure, responsable chez le courtier Empruntis. D'autant que « la société change beaucoup plus vite que les pratiques bancaires ».

 

cBanque

cBanque - Taux immobilier : quelle hausse doit-on craindre pour 2017 ? 

Les taux de crédit immobilier affichent de légères augmentations. Sur « 35 barèmes de banque reçus » en ce début de mois de janvier, constate le courtier Empruntis dans sa lettre mensuelle, 32 affichent des hausses, comprises entre 0,03 et 0,30 point. En moyenne, le consensus se fait autour d'une hausse modérée de 0,10 point, ce qui situe les taux de marché pour un crédit immobilier sur 20 ans à 1,65% selon Empruntis.

 

Les Echos

Les Echos - Renégociation ou rachat de crédit : il est encore temps ! 

Les taux remontent. Pas d'affolement, le crédit reste bon marché. Renégocier ou racheter son prêt avant une hausse plus forte peut s'avérer judicieux. Il faut toutefois que le montant des intérêts d'emprunt à rembourser soit encore conséquent. « II faut être dans le premier tiers de son prêt, car c'est le moment où l'on paye le plus d'intérêts à sa banque », explique Cécile Roquelaure, directrice des études chez Empruntis. Autrement dit, le capital restant à rembourser doit être encore élevé.

 

La Vie immo

La Vie immo - Immobilier : 2017 sera-t-elle aussi idéale pour les vendeurs que 2016 ? 

La remontée des taux risque d'abord de freiner l'accès au crédit, et donc de peser sur le volume de transactions. D'ailleurs, le courtier Empruntis estime qu'avec 0,5% de hausse des taux, on pourrait compter jusqu'à 8% d'emprunteurs en moins. Seule une baisse du prix des logements pourrait continuer à stimuler le marché.

 

Le Figaro

Le Figaro - Sur le chemin de la hausse 

Depuis la fin de l'année, Empruntis constate que les établissements bancaires relèvent un à un leurs barèmes. Et ce, en raison de la hausse de l'OAT, l'emprunt à dix ans émis par l'Etat et qui sert de référence aux banques pour déterminer les taux fixes des crédits immobiliers. « Les crédits immobiliers sont le principal produit d'appel des banques pour conquérir de nouveaux clients », explique Céline Roquelaure.

 

La croix

La croix - 2016, un excellent millésime pour l'immobilier 

En 2016, les transactions pourraient atteindre un niveau record, en dépassant les 850 000 ventes. Les prix sont restés relativement sages, et les taux de crédit ont atteint des niveaux record. Au total, le nombre de crédits immobiliers a progressé de 10 % en 2016, selon une étude du courtier Empruntis. Notons tout de même que la petite hausse de taux d'intérêt observée en décembre devrait se poursuivre cette année.

 

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