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Le dispositif de chômage partiel n’a pas disparu avec le déconfinement. Les récentes mesures préfectorales visant à réduire la circulation du virus dans les régions les plus touchées plongent à nouveau plusieurs secteurs professionnels dans l’incertitude. Pour les employés, c’est à nouveau une perte de revenus et le risque de se retrouver en difficulté financière.
Au plus fort de la crise sanitaire en avril dernier, 8,8 millions d’actifs « bénéficiaient » du chômage partiel. Ils n’étaient plus que 1,3 million en août selon la Dares, et le gouvernement court après les 225 millions d’euros de fraude liés au dispositif avec plus de 50 000 contrôles effectués et près de 500 procédures pénales engagées. Principaux bénéficiaires : l’hôtellerie-restauration. Mais tout ceci n’est pas derrière nous, car une nouvelle salve de mesures coercitives a eu pour conséquence de baisser les rideaux pas seulement des bars et restaurants, mais aussi des salles de sport. Ces fermetures administratives s’accompagnent du soutien du gouvernement à hauteur de 100% du salaire net pour les salariés au Smic et 84% pour les autres (jusqu’à 4,5 fois le Smic).
Un soulagement pour ceux qui sont au salaire minimum, mais une mauvaise surprise pour ceux qui se situent au-dessus et qui perdent 16% de leurs revenus. Pour un employé à 1 500€ net par mois, cela représente 240€ en moins. Lorsqu’il s’agit d’une personne engagée dans le remboursement de plusieurs emprunts, c’est le reste à vivre qui en pâtit. Prenons un couple qui compile en temps normal 3 125€ de revenus mensuels : le chômage partiel appliqué aux deux personnes les prive de 500€ à la fin du mois. S’ils doivent rembourser un crédit immobilier à 750€, un prêt auto à 300€ et un prêt personnel à 150€, cela réduit leur budget du mois de 1 975 à 1 475€, sachant que dans le même temps une grande part de leurs dépenses demeurent incompressibles (impôts, assurances, abonnements énergie et téléphone/internet). En bout de chaine, le reste à vivre s’amenuise et fait courir le risque d’un découvert bancaire, voire d’un surendettement...
Lorsque cette situation se répète, et plus encore pour les salariés qui comptent aussi sur des primes pour arrondir leurs fins de mois, le rachat de crédit est un moyen de préserver leur reste à vivre. L’idée : fusionner les crédits en cours en un seul prêt et une seule mensualité à rembourser tous les mois. Le rachat de crédit permet de baisser sa mensualité de prêt en jouant sur la durée totale de remboursement. Par ce biais, il devient possible de redonner de l’oxygène à son budget mensuel amputé par le chômage partiel.
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