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S’enrichir grâce à son épargne, un lointain souvenir. S’ils n’étaient déjà plus vraiment rémunérateurs, le livret A et les fonds euro de l’assurance-vie vont encore connaître un coup de frein en 2020, ce qui incite à se poser la question de l’intérêt de mettre de côté sous cette forme prisée des "bons pères de famille".
Il y a près de 30 ans en 1981, le livret A s’affichait à 8,5%! Mais depuis, le livret d’épargne préféré des Français (55 millions de comptes ouverts), n’a cessé de chuter. En 2009, la libéralisation du livret A – qui était auparavant la chasse gardée de la Banque Postale, la Caisse d’Epargne et le Crédit Mutuel – avait entraîné un rebond avec des taux d’appel à 7% parfois sous l’effet de la concurrence. Mais le taux réglementé de ce livret qui sert à financer le logement social a très vite mis fin à l’euphorie. Si l’on était encore à 2% à l’été 2012, on plongeait à 1% deux ans plus tard puis à 0,75% en 2015, niveau bloqué jusqu’en janvier 2020. Et après ? Une nouvelle méthode de calcul, basée sur le taux d’inflation et les taux interbancaires à court terme, devrait faire chuter le livret A à 0,5% en février 2020, le plus bas niveau possible, et cette situation devrait se prolonger jusqu’en 2022. En résumé, il rapportera moins que ce que coûte l’inflation.
Les évolutions peu encourageantes du livret A vont-elles profiter à l’assurance-vie ? Ce n’est pas le faible rendement des fonds euro qui agit comme la meilleure publicité pour ce placement détenu par 45% des ménages dont l’encours atteignait 1 700 milliards d’euros fin 2018 d’après la Fédération française de l’assurance. Le capital garanti est "un vestige d’un passé révolu" selon Allianz France, victime des taux d’intérêts négatifs. "Le Revenu" prédit un rendement de l’assurance-vie à 1,5% en 2019, loin des 3 à 4% qui étaient monnaie courante lors de la dernière décennie. Un coup dur pour l’autre produit d’épargne star des Français.
Dans un paysage où l'épargne est de moins en moins rémunérée et le pouvoir d'achat, une question toujours brûlante, des ménages se trouvent engagés dans le remboursement de plusieurs crédits, les diverses échéances entamant parfois leur reste à vivre de façon trop importante. Le rachat de crédit peut alors permettre de diminuer le montant des mensualités pour retrouver une bulle d'oxygène dans un budget mensuel, avec certes un coût total plus élevé au final. La mécanique ? Grouper les crédits en cours de remboursement en un seul contrat (et donc une mensualité au lieu de plusieurs), assorti d'un taux unique. La durée de remboursement est allongée, ce qui permet une baisse du montant des échéances.
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