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Ils sont 20% des Français à avoir vu leurs revenus directement impactés par la crise sanitaire d’après une étude de l’Observatoire des inégalités. Parmi eux, ce sont essentiellement les travailleurs non-salariés et les plus précaires qui ont été les plus touchés. Le rachat de crédit peut alors faire office de bouée de sauvetage pour leur budget.
Cela peut paraître surprenant, mais l’Observatoire des inégalités rappelle que les principales «victimes» du Covid-19 sur le plan économique sont… les employés ayant de hauts revenus. C’est-à-dire les 5% des salariés les mieux rémunérés en France, ceux dont le plafond du chômage partiel (4,5 fois le Smic, soit environ 4 800€ net par mois) n’a pas permis de garantir la prise en charge de 84% du salaire net. Plus sérieusement, la diminution du revenu a certes été ressentie par les 40% de salariés placés en chômage partiel durant le confinement, avec un recul de 16% pour ceux dont l’entreprise n’a pas complété la participation de l’État. Le manque représente 3% du revenu annuel pour deux mois de chômage partiel d’après un calcul de l’institution. Mais ce n’est presque rien à côté des travailleurs précaires et des non-salariés.
Plus de deux millions d’intérimaires et salariés en fin de CDD ont vu leur mission s’arrêter et leur contrat non renouvelé avec le confinement. Pour eux, les amortisseurs de l’État-providence n’ont pas eu la même ampleur. Plus nombreux encore, 3,2 millions de travailleurs non-salariés ont subi des pertes d’activité, dans des proportions parfois extrêmes. Car le travail à distance n’est pas possible pour certains métiers comme les coiffeurs ou les commerçants dans le prêt-à-porter. Pour le tiers d’entre eux selon l’OFCE, les revenus perdus ne seront pas récupérés, et l’aide exceptionnelle de l’État (1 500€ d’indemnité au-delà de 50% de chiffre d’affaires perdu en mars et en avril) est souvent dérisoire par rapport au manque à gagner. L’Observatoire des inégalités n’oublie pas les travailleurs non déclarés, pour qui la chute a été sévère.
Et on le sait, « l’après » n’est pas une promesse de retour immédiat au niveau d’activité de « l’avant » crise sanitaire. Les baisses et les pertes de revenus sont donc appelées à s’installer sur la durée à moyen terme pour un certain nombre de Français. Pour les foyers engagés dans le remboursement de plusieurs prêts, cela signifie qu’il est urgent d’agir pour ne pas glisser vers une situation de surendettement. Pour ces particuliers qui avaient souscrit un crédit immobilier, un crédit auto, un prêt personnel ou encore un prêt travaux, le rachat de crédit est une réponse proportionnée à leur problématique de budget. L’idée est simple : réunir les emprunts dans un seul contrat et jouer sur la durée de remboursement pour ajuster la nouvelle mensualité pour qu'elle soit plus adaptée au nouveau revenu post-Covid-19. Cela peut être un rachat de crédit hypothécaire, s'il inclut un prêt immobilier à regrouper, soit un rachat de crédit conso s'il n y a que des crédits conso à regrouper. Par ce mécanisme, le rachat de crédit redonne un reste-à-vivre confortable plutôt que de courir le risque de se retrouver en découvert bancaire à chaque fin de mois.
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