Meilleur taux de credit immobilier - février 2024

Découvrez le meilleur taux immobilier actuel dans votre région

National Auvergne-Rhône-Alpes Bourgogne-Franche-Comté Bretagne Centre-Val de Loire Corse Grand Est Hauts-de-France Île-de-France Normandie Nouvelle-Aquitaine Occitanie Pays de la Loire Provence-Alpes-Côte d'Azur

Durée	Tendance	Taux min	Taux du marché	Taux max
7 ans		3,10%	3,75%	5,49%
10 ans		3,30%	3,80%	5,49%
15 ans		3,52%	3,90%	5,49%
20 ans		3,66%	4,05%	5,49%
25 ans		3,80%	4,20%	5,68%

* Taux fixes hors assurance et selon votre profil. Taux actualisés au 15/02/2024 par Empruntis.com. Taux comparés par rapport au 19/01/2024

Notre analyse régionale des meilleurs taux immobiliers

Analyse faite au 16-02-2024

Malgré les vacances d’hiver, les taux ne dévalent pas la pente ! ⛷️ Après une baisse généralisée en janvier pour les moyennes sur 20 ans, le mois de février apparaît bien calme. Sur ce même indicateur, seule une petite diminution est constatée en Occitanie (- 0,05 point). Cette région atteint désormais les 3,95 %, tandis que toutes les autres zones s’harmonisent à 4,00 %.

Les taux immobiliers de février en région 🧐

Voici donc les taux immobiliers moyens pratiqués en février, dans les 13 régions de France métropolitaine, pour les crédits souscrits sur 20 ans :

C’est donc une certaine uniformité qui est de mise dans le pays. Il faut se tourner vers les emprunts sur 7 ans pour trouver un écart réellement significatif entre les régions. Pour ce type de prêt, le taux moyen va en effet de 3,00 % en Corse à 3,80 % en Auvergne-Rhône-Alpes. Les autres durées ont, en revanche, des moyennes quasiment identiques dans toute la France :

• de 3,65 % à 3,85 % sur 10 ans ;
• de 3,85 % sur 15 ans ;
• de 4,10 % à 4,15 % sur 25 ans.

Notre analyse des taux immobiliers régionaux de février 👩‍🏫

En réalité, le calme apparent des taux moyens, en particulier sur 20 ans, masque des mouvements assez contradictoires. Ainsi, sur les 117 taux qui composent notre baromètre, on retrouve des baisses, des indicateurs stables, mais aussi des hausses. Il n’y a donc pas de mouvement net qui se dégage en février, et cela est le fruit de la grande variété de stratégies constatée chez les établissements :

« Les banques sont très volontaires, elles ne veulent surtout pas laisser passer d’opportunités, quitte à avoir « trop » de dossiers d’un coup et à devoir ajuster leur stratégie de taux en permanence. Alors même que le coût de l’argent n’est pas stabilisé, ce qui ne leur facilite pas la vie » constate Cécile Roquelaure, directrice des études d’Empruntis.