Comme à chaque nouvelle année, le mois de janvier est synonyme de nouveaux départs, de résolutions et de défis personnels. Pour commencer 2024 sur de bonnes bases, la tendance du « Dry January » émerge comme un choix populaire pour ceux qui cherchent à démarrer l’année sainement et réduire leur consommation d’alcool.
Son principe est simple : les participants s’engagent à ne pas boire une goutte jusqu’au mois de février. Un défi perçu comme une opportunité de « réinitialiser » le corps et l’esprit après les festivités de fin d’année. Une manière de prendre soin de soi, et de son portefeuille !
Qu’est-ce que le Dry January ?
Au-delà d’une simple abstinence temporaire vis-à-vis de l’alcool, le Dry January vise à évaluer l’impact de son arrêt sur le bien-être général, sensibiliser le grand public sur ses habitudes de consommation, et encourager des changements positifs à long terme. Les participants témoignent bien souvent d'une meilleure qualité de sommeil, d'une augmentation de l'énergie, et d'une amélioration de leur capacité à se concentrer.
Loin de n’être qu’un ressenti personnel, de nombreuses études soulignent les avantages pour la santé physique et mentale liés à une pause de l’alcool. Réduire cette consommation peut contribuer à une meilleure fonction hépatique, à perdre du poids, et à diminuer les risques de maladies cardiovasculaires. De plus, le Dry January peut aider à changer certains comportements néfastes associés à la consommation d'alcool, tels que la tendance à boire en réponse au stress ou aux émotions négatives.
Bon à savoir
Il est essentiel de souligner que le Dry January n’est pas non plus une solution miracle. Les personnes ayant des antécédents de dépendance à l'alcool peuvent consulter un professionnel de santé afin d’être accompagné dans leur démarche d’arrêt de l’alcool.
Arrêter l’alcool fait aussi du bien aux finances
Outre ses bienfaits pour la santé, un arrêt de l’alcool est également bénéfique pour les finances car il permet de faire quelques économies. Au-delà du Dry January, notons que la consommation régulière d’alcool, en plus d’impacter la santé, peut également avoir des conséquences sur la souscription d’une assurance emprunteur.
Il faut en effet savoir que les assureurs redoutent les problèmes de santé, car ils craignent une incapacité de l'emprunteur à exercer une activité professionnelle stable. Ainsi, en cas de consommation régulière, les assureurs considèrent l’alcoolisme comme un risque de santé aggravé. Ils ajoutent alors plusieurs contreparties lors de la souscription d’un contrat d’assurance, à savoir ;
- des exclusions de certaines garanties du contrat ;
- le paiement d’une surprime pour compenser les risques aggravés présentés par cette consommation.
- une période d’attente avant la souscription pour s’assurer du risque et de l’évolution de l’alcoolisme.
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